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Ce que Kobaitchi raconte
romans
2 juillet 2015

J'ai lu quoi en juin ? -1 mois 1000 pages-

BD :
Cédric t21 (48p) : Il y avait longtemps que je n'avais plus lu un Cédric. Celui ci n'est pas mal même s'il arrive qu'on tourne un peu en rond par moment.
Le petit Spirou Présente, Prof de calcul et de gym (32 et 48p) : Comme je le devinais/craignais se sont loin d'être de bons albums. Un peu de Mademoiselle Chiffre ou Mr Mégot par ci par là dans un album normal ça passe, même très bien dans la majorité des cas, mais des compiles comme ça, à part à faire du fric sur le dos des consommateurs je ne vois pas du tout l’intérêt, il y a overdose. En plus, mais ça c'est un avis on ne peut plus subjectif (enfin, comme d'hab quoi), il ne s'agit vraiment pas d'un best of. J'ai à peine esquissé un ou deux sourires, alors qu'à la base j'aime beaucoup le Petit Spirou.
Léonard t22 (48p) : Pas le meilleur des tomes. Le concept s’essoufflerait-il ?
Kid Paddle t6 et 10 (2x48p) : Un Kid au top de sa forme. Ça fait plaisir de voir que certaines valeurs ne s'émoussent pas.
Game Over : Je ne le compte pas pour les pages étant donné qu'il n'y a pas une seule ligne de texte. C'est le premier que j’achète, en général je me contente des gags du petit barbare présent dans Kid Paddle, mais même sans texte c'est sympa et pas du tout répétitif. Et très prisé par les gosses qui ont la flemme de faire travailler leur petit cerveau, aussi. 
 
Mangas :
Magdala Alchemist t2 (192p) : Un tome un peu confus, j'aurais probablement du relire le premier avant. La petite nonne a révélé son incroyable secret, elle et les deux alchimistes ont échappés à la mort ainsi qu'à la poursuite des inquisiteurs et finalement je n'ai pas bien compris pourquoi ni comment... Du coup j'ai un peu décroché. Je pense que je relirais les deux tomes à la suite dans quelques mois et que je verrais à ce moment là si je continue la série ou non.
Assassination classroom t3 (192p) : Plusieurs nouveaux personnages font leur apparition et finalement on voit assez peu le prof dans ce tome. Je ne suis pas franchement fan du dernier arrivé mais c'était déjà le cas pour le premier nouvel élève et Madame Pouffe, or je les trouve tout comptes fait plutôt cool, donc tout peut encore changer.
Otomen t2 (192p) : L'histoire avance doucement. C'est une série distrayante mais sans plus en ce qui me concerne. J’achèterais peut-être les autres tomes plus tard, les mois où vraiment les nouveautés ne me feront pas de l’œil.
Ikkyu t1 (304p) : Série un peu difficile à approcher parce qu'on reçoit vraiment beaucoup d'infos en assez peu de temps. Ça se passe courant d'une période de l'Histoire japonaise où je n'ai strictement aucune idée de ce qu'il s'est passé (1300). L'écriture n'est pas toujours très lisible et franchement ça n'aide pas. C'est un manga assez vieux (1996 pour l'édition fr) et ça se sent. Cela dit l'histoire est intéressante, elle retrace la vie d'un bâtard impérial devenu moine et qui tente, autant que faire ce peu, d’œuvrer pour le bien. Je pressens en revanche que je vais avoir du mal à trouver le tome 2.
Le maître des livres t4 (190p) : On en apprend plus sur les personnages, les sentiments de certains s'affirment même s'il risque de se passer un paquet de tomes avant que la série ne verse trop dans le sentimentalisme (et heureusement en fait). Par contre le début d'intrigue entamé dans le tome 3 (ou 2 ?) passe complètement à la trappe.
Joker Danny t1 (160p) : Critique dispo ici.
La fille de la plage t1 (208p)  : Critique à venir.
Roji t1 (192p)  : Un mignon petit tome pas franchement mémorable mais agréable à parcourir qui nous emmène sur les traces d'une bandes d'enfants auxquels il arrive parfois des choses un brin surnaturelles mais qui s'inventent surtout beaucoup d'histoires. La fin laisse néanmoins présager un arc narratif plus orienté extraordinaire. Ce qui est une très bonne chose d'après moi.
Kamakura Diary t1 (192p) : Un premier tome vraiment sympa et doux. La première partie se concentre sur la vie des trois soeurs ainées alors que la seconde se focalise complètement sur la quatrième. Je n'attendais rien de ce manga vu que je ne le connaissais même pas avant de l'acheter mais c'est une très belle surprise.

Romans :
Dem et Sven (458p) : Critique dispo ici.
Entre ombre et lumière (262p) : Critique dispo ici.
Les enfants perdus de Saint-Félix (360p) : Critique dispo ici.
Lou (19p) : Une nouvelle très courte, sympa mais pas hyper mémorable.

Autres :
Fromages Vegan (72p) : Les recettes que j'ai testées sont vraiment bonnes, à ce niveau là le livre aurait mérité 5/5, mais elles demandent toutes beaucoup d’ingrédients, ce qui revient parfois un peu cher, et sont assez contraignantes.
Les recettes de ce livre ne me semblent pas vraiment accessible à tout un chacun. Beaucoup me font envie mais leur préparation me démotive aussi sec, je leur préfère régulièrement d'autres recettes, plus simple, trouvées sur le net...  
Cela dit, je le répète, celles que j'ai eu le courage de tester sont vraiment délicieuses.
Livre à peut-être réserver à celleux qui déjà à la base aiment passer des heures en cuisine. 

Prévisions pour juillet :
La fille de la plage t2
Fight Girl t19
Innocent t3
Le requiem du roi des roses t2
Le mystère de la chambre jaune (sérieux, j'aurais bientôt oublié qui est la victime, ça fait tellement longtemps que je l'ai commencé...)

Et voilà, 3265 pages en juin sur un pronostic de 3000.
Je vais juste repartir sur 2000 en juillet parce que... ben, parce que c'est juillet, c'est tout.

 

lectJUIN15

Pour nous rejoindre pour 1 mois 1000 pages il vous faudra ce mois ci faire preuve d'un peu de débrouillardise parce que mon PC fait la grève de Fakebook (entre autres). Mais bon le groupe n'est vraiment pas difficile à trouver, je vous fais confiance pour y parvenir tout.e seul.e

 

 

 

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25 juin 2015

Entre Ombre et Lumière - Paul G Sergeant

entre ombre et lumiereQuatrième de couverture : De tout temps, à tous les niveaux socioprofessionnels, l'homme ne vise qu'un seul but : celui d'être reconnu, considéré, respecté. Dans le monde de l'audiovisuel, et notamment dans le monde de la télévision, ce principe a du mal à se concrétiser ; car deux mondes s'affrontent, involontairement ou consciemment : le monde de ceux qui travaillent dans la lumière et celui de ceux qui travaillent dans l'ombre, le monde de ceux qui récoltent tous les avantages et privilèges et celui de ceux qui ne récupèrent que des miettes de la gloire ou pire encore mépris et déconsidération. Des techniciens, faisant partie des gens de l'ombre ayant longtemps évolué dans le monde télévisuel avec plus ou moins de succès, ressentent ce phénomène. Malgré leur expérience, ils sont toujours confrontés à cette lutte interne. Ils vivent ou subissent toujours rêves, désillusions, humiliations, stress, angoisse, aux dépens de leur vie privée et de leur épanouissement personnel. Certains acceptent cela sans réagir, d'autres le vivent mal. Dans ce monde replié sur son nombril, une série de crimes inexpliqués, car apparemment sans mobile, va être perpétrée. L'enquête, qui en découlera, va déterminer le lien entre tous ces crimes. Découvrirons-nous l'auteur de ces assassinats ?

Ce que j'en ai pensé :  J'ai trouvé la première partie trop longue et, probablement à cause de leurs métiers très semblable pour la néophyte que je suis, j'ai longtemps confondu les personnages. Il y a aussi beaucoup de passages pas super utiles dans cette première moitié. Bon, ils nous permettent de saisir comment se déroule un direct, un montage, etc, donc ils ne sont pas totalement inutiles non plus mais le fait qu'ils ne soient pas relié à l'intrigue principale et qu'ils soient si nombreux est un peu dérangeant.
Cela dit, une fois que l'histoire commence réellement, avec le premier meurtre, la lecture devient plus rapide, plus fluide et donc plus intéressante.

Le langage très 90 est vraiment parfait, il permet de s'immerger totalement dans l'époque. Les blagues pourries entre les personnages, les références, les réactions, toutes ces choses sont parfaitement encrées dans l'époque où se déroulent les fait. C'est pour moi le point le plus positif du roman.
On imagine sans difficulté les habits, la déco, voir même les rues, et ce coté rétro-ringard apporte un cachet tout particulier à l'histoire.

Les discussions entre les différents protagonistes aussi sont très bonnes, on y croit sans avoir à se forcer (chose que l'on voit hélas trop peu souvent en auto édition).

Jusqu'au bout je n'ai pas eu vraiment d'idée sur l'identité du meurtrier. Bon, la logique me disait qu'il devait faire partie des personnages que l'on suivaient mais rien chez eux ne m’incitais sérieusement à en suspecter un plus que les autres.
Par contre, le fait d'ignorer qui était le meurtrier ainsi que ses motivations jusqu'à un stade avancé m'a empêché d'avoir beaucoup de compassion pour lui, ou plutôt de trouver des excuses, des raisons valables à ses actes. J'ignore si  le but était que l'on soit du coté de la police ou de l'assassin mais au vu du résumé, de l'intro ou même de l'orientation générale de l'histoire j'ai tendance à penser que c'est vers ce dernier que notre cœur est censé pencher, or ce n'est qu'à moitié le cas. On manque d'attachement à son sujet, de connaissance de son passé pour vraiment l'aimer.
Bon, on comprend ses raisons, hein, mais personnellement j'aurais voulu en savoir plus sur lui, sur ce qui se passe dans sa tête.

Points forts : Pour y avoir grandit les années 90 ne sont vraiment pas parmi mes préférées, or tout suinte nineties dans ce roman. C'était bien partit pour être un point négatif. Et puis finalement c'est tellement bien fait, tellement bien décrit, que c'est devenu la plus grosse qualité de ce titre.
Points faibles : La lenteur du début. Les problèmes que peuvent rencontrer les intermittents n'évoluant pas sur le devant de la scène sont mis en lumière  d'une façon qui, de prime abord, peut sembler un peu trop téléphonée, les méchantes  « stars » qui traitent mal le personnel face aux gentils assistants qui ne veulent qu'être reconnu pour leurs qualités. Mais au bout du compte les méchants se transforment en victimes traquées par un « petit » pas si gentil ni droit dans ses bottes, ce qui équilibre un peu le tout et fait oublier l'impression mi figue mi raisin du début.
Nombres de tomes : Un

10 juin 2015

Le Joyau - Amy Ewing

le joyauQuatrième de couverture : Vous êtes plus précieuse que vous ne le pensez.

Le Joyau, haut lieu et coeur de la cité solitaire, représente la richesse, la beauté, la royauté.
Mais pour une jeune fille pauvre comme Violet Lasting, le Joyau est avant tout synonyme de servitude. Et pas n'importe laquelle : Violet a été formée pour devenir Mère-Porteuse. Car dans le Joyau, le vrai luxe est la descendance...
Achetée lors de la Vente aux Enchères par la Duchesse du Lac, Violet – le lot 197, son nom officiel – va rapidement découvrir la réalité brutale qui se cache derrière l'étincelante façade du Joyau. S'exercer à la cruauté, à la trahison et aux coups bas est la distraction favorite de la noblesse. Violet doit accepter son sort et tâcher de rester en vie.

[Normalement il y a quelques lignes en plus mais je ne vous les met pas parce que je trouve que ça en raconte trop. En fait j'aurais mis une alerte spoiler si j'avais parlé de ça dans ma chronique...]

Ce que j'en ai pensé : Voilà encore un livre que je n'aurais jamais ouvert si on ne m'en avait pas parlé.
Et ce en grande partie à cause de sa couverture. Alors oui elle est jolie, mais pour moi ce genre de couverture fait trop livre pour ado/jeune adulte. Et c'est le public visé ici, aucun doute la dessus. N'étant pas friande de ce genre de lecture je ne me sentais pas franchement concernée, donc, et pourtant j'ai accroché dés les premières pages.

L'écriture est fluide et on se sent vite concerné par ce qui arrive à Violet. La vente, l'humeur maussade de la Duchesse, l'avenir sombre qui se profile pour elle, on ne voit pas comment elle pourrait y échapper et pourtant on y croit, on espère qu'elle trouvera la faille qui lui permettra d'y échapper.

Alors, il ne se passe pas grand chose dans ce premier tome (quoiqu'un peu quand même) et pourtant on ne s'y ennuie pas. On rencontre pas mal de personnalités importantes du Joyau, on en apprend pas mal sur le monde dans lequel vivent les protagonistes, on échafaude des théories aussi, sur base de ce que l'on sait, et on suit Violet, et uniquement elle, lors de ces premiers mois de vie au sein du joyau.

J'ai été un peu dérangée par quelques scènes qui semblaient tout droit pompées de Hunger Games (bien que je n'ai pas lu les livres, juste vu les deux premiers films) : Les districts, même s'ils ne portent pas ce nom là, les tenues et activités extravagantes de l'élite, la préparation à la vente, le mec tout gentil qui la prépare et qu'on suppose déjà être un allié pour plus tard... Heureusement les similitudes s’arrêtent là et assez tôt dans le livre.

En définitive c'est un bon premier tome mais je regrette un peu de l'avoir lu avant la publication des deux suivants, je déteste attendre pour avoir la suite (surtout un an, merde quoi, c'est énorme !), et, à moins d'un hyper méga coup de cœur, je me lasse souvent d'attendre assez vite et fini par oublier la série en cours...

 

Points forts :  De bons personnages, même parmi les secondaires, une intrigue sympa, des retournements en prévision.
Points faibles : Quelques trucs un peu con-con, comme les prénoms, Violet pour l'héroine parce que ses yeux sont... violet (je ne vous spoile rien, c'est dit dans les 5 premières pages), sa meilleure amie carrément rebelle au nom trop dark de Raven et le frère de celle ci, Crow. Mais dans l'ensemble pas grand chose à reprocher.
Nombres de tomes : 3. Un sorti actuellement en français.

1 mai 2015

J'ai lu quoi en avril ?

Nouveau mois donc nouvelle récap. Et beaucoup de BD en avril.
Voyons ça de plus près. 

 

Comics :
Walking Dead t16 à 22 (1064p) : A part le 22eme tous ses tomes parlent de la guerre avec Negan, et franchement après cinq tomes à ne parler que de ça ça devenait vraiment lourdingue. Le 22 en revanche s'ouvre sur de la nouveauté. La fin désappointe un peu, j'aurais espéré que ça ne parte pas dans ce sens là mais je suis impatiente d'avoir la suite en mains. En espérant que l'auteur ne nous sorte pas encore un nouveau méchant à exterminer. ATTENTION : Les quelques lignes suivantes peuvent être considérées comme un spoiler même si elles ne renseigne sur aucun point d'intrigue ! [Potentiel SPOIL ON] La reconstruction d'un monde en territoire zombie est intéressante, vraiment, mais ça risque de devenir trop répétitif si un nouveau méchant apparait à chaque fois que l'on se débarrasse d'un autre.
Et en plus ils ont tué mon personnage préféré ces cons !! [Potentiel SPOIL OFF]

BD :
Holmes - L'Adieu à Baker Street t1 (40p) : Coup de cœur ! Une adaptation très sympa qui s’éloigne du Canon. Ici pas de Sherlock, qui est censé être mort, mais un Watson au top de ses capacités mentales et qui nous entraine sur les traces de son ami pour découvrir s'il était devenu fou avant sa mort ou non.
Princesse Sara (46p) : Les dessins sont vraiment beaux et j'aime beaucoup l'idée d’intégrer cette histoire dans un univers steampunk. En revanche je trouve que le personnage de Sara n'est pas très au point, elle ressemble vraiment à une petite princesse pourrie gâtée, à aucun moment je n'ai ressenti d'attachement envers elle. Elle est plus intelligente, plus drôle, plus mature, plus créative que toutes les autres élèves, en plus d'être plus riche bien sur. On se demande un peu ce que son père espérait qu'elle apprenne de cet établissement moyen. Très franchement je comprends que Lavigna ne puisse pas la sentir...  A voir dans le tome 2 si elle parait plus aimable. Parce qu'autant on avait parfois envie de secouer la Sara du dessin animé pour qu'elle arrête d'être aussi gentille et soumise autant celle ci on en vient à se dire que ça lui fera du bien d'être traitée comme une souillon pour lui apprendre à péter un peu moins haut.
Un autre petit illogisme m'a aussi dérangée, à un moment quelqu'un lui dit qu'elle est vraiment très jolie (ce qui est vraie) et ce qu'elle répond en pensée c'est "Mais pourquoi elle me dit ça? Je ne suis pas jolie du tout". Je ne vois pas dans quel monde une enfant riche, gâtée, aimée et jolie (parce qu'elle l'est, bordel) peut penser une chose pareil. Et si vraiment elle est censée ne pas être jolie (pourquoi pas, après tout) il aurait alors fallu le montrer et ne pas en faire une gravure de mode.
Mind t1 (62p) J'en ai déjà parlé (mais là j'ai reçu mon exemplaire relié donc je l'ai relu) et je pense que je lui accorderais un article à lui seul.
Châteaux bordeaux t1 (55p) Les dessins sont moches, les personnages semblent figés et sans expression, en plus l'histoire n'est pas franchement passionnante et les personnages n'ont rien d'attachants. Il n'y aura pas du tome 2 en ce qui me concerne. J'ai lu cette BD en plusieurs jours ! Ce qui ne m'arrive jamais en temps normal.
Un couple à croquer (126p) : Coup de cœur ! Très très mignon et drôle. Avec SK on s'est reconnu plusieurs fois dans les strips. Je conseille !
Le top du chat (56p) : Pas les meilleurs gag d’après moi. Perso je n'aurais pas choisi ceux là pour illustrer un "top".

Manga :
Lady and the buttler t1 à 2 (416p) : J'ai été tellement choquée par les messages véhiculés par cette bouse que vous en entendrez parler plus en détails courant du mois.
Le requiem du roi des roses t1 (192p) : Très prometteur ! Gros coup de cœur. J'ai dévoré ce premier tome et compte bien me procurer et lire Richard 3 (Shakespeare) dont le requiem du roi des roses est une adaptation, d'ici la sortie du tome 2. En plus les dessins sont superbes, ce qui ne gâche rien.
Birth of Livaï t1 (192p) : Ni dessiné ni scénarisé par l'auteur de L'Attaque des titans. Du coup c'est plus joli, plus addictif et en un tome il se passe plus de choses qu'en cinq de l'ADT...
Le monde de Wan-Wan t4 (136p) : Wan-Wan continue de grandir et de faire des bêtises. Il est toujours mignon, attendrissant et pour la première fois on a même droit à des photos de lui en fin de tome !
19 jours (91p) : Un gros coup de cœur pour cette série qui malheureusement n'est pas (encore) éditée en français. C'est drôle et mignon, parfois absurde et touchant. Je la veux en relié !! (scantrad fr 1ere partie - 2eme partie)

Romans :
Mes sincères condoléances (142p) : Tantôt drôle, tantôt triste ce recueil est un petit bijoux vraiment bien écrit. Il me conforte en revanche dans l'idée que je serais incapable de faire ce boulot, moins à cause de l'état des corps en putréfaction que du trop plein d'émotions à gérer quotidiennement.
Sherlock Holmes - La vallée de la peur (224p) : Vraiment pas la plus passionnante de enquête de Sherlock Holmes, surtout parce que la moitié de l'histoire ne le concerne pas. Si vous n’êtes pas coutumier du détective ne commencez surtout pas votre découverte par celle ci.
Livre dont vous êtes le héros - L'histoire de votre naufrage (63p) : Sympa pour passer une petite soirée. Et gratuit sur le Kobo store en plus de ça. Oui j'ai compté toutes les pages parce que j'ai cherché à savoir toutes les fins possible.
Osez 69 gages érotiques pour pimenter votre vie sexuelle (35p) : Plutôt très nul. Cette version gratuite est, normalement, un extrait de osez 669 gages érotiques (...). On aurait pu croire qu'ils mettraient les plus intéressants dans cette démo pour donner envie d'acheter le livre complet, sauf que les gages sont au choix pas originaux, ridicules, pas intéressants, ajoutez autre qualificatif désapprobateur si besoin est. Je n'aurais de toutes façons pas acheté la version complète, je n'ai pris celle ci que parce qu'elle était gratuite sur le Kobo Store, mais  j'aurais au moins aimé être amusée par ma lecture. Et sincèrement j'imagine mal qui que ce soit l'acheter après avoir lu ça.

 Ce qui fait 2940, bien loin des 4000 que je m'étais fixée... Donc on va reprendre tranquille et dire 3000 pour mai.

En cours :
Pass for the sun
L'héritage Pastor Raspail
Le mystère de la chambre jaune

Prévision de lecture :
Adekan t8
Birth of Livaï t2
L'attaque des titans before the fall
Le Joyau t1

Aussi, ce mois ci ça fait 3 ans que 1 mois 1000 pages existe, l'occasion de nous y rejoindre, peut-être?

lecture avril
Pour voir l'image en grand (et repérer le nom de l'auteur ou de l'éditeur) clic droit > ouvrir dans un nouvel onglet/nouvelle fenêtre.

2 avril 2015

J'ai lu quoi en mars? Du très bon. Et du moins bon aussi.

 Petit topo sur mes lectures du mois passé.
J'avais misé sur 3000 pages, pas sur que j'y sois parvenue... Mais voyons ça ensemble.
 

Mangas :
Détective Conan t1 à 2 (364p) : J'avais acheté le tome 1 il y a plusieurs années. Je l'avais lu et trouvé sympa sans plus, c'est donc un peu par dépit hasard que je l'ai ressorti et relu au début du mois. Et c'est aussi un peu par hasard que j'ai acheté le tome 2 il y a 15 jours. C'est plus sympa que le souvenir que j'en avais.
Fairy Tail t1 et 2 (384p) : Plus sympa que je ne l'imaginais. Je ne sais pas pourquoi mais j'associais Fairy Tail à One Piece (auquel j'ai pas franchement accroché) mais tout compte fait c'est plutôt sympa. Les persos sont attachants même s'ils sont quand même vachement clichés.
Globule (192p) : One shot parlant d'un petit lapin tout mignon. Enfin non, d'un gros lapin tout mignon plutôt. Je n'ai pas cohabité très longtemps avec mes lapins mais j'ai pu retrouver certains de leurs comportements dans cette histoire. Et puis c'est très drôle. Et émouvant aussi par moment. Franchement c'est une lecture que je recommande à tous, que vous soyez petit ou grand, que vous ayez eu un lapin ou non, il y a de grandes chances pour que vous fondiez pour Globule. Personnellement j'ai passé un excellent moment, je regrette juste qu'aucun tome 2 ne soit prévu.
Under the blue sky (200p) : Bof. Avis dispo ici.
Les vacances de Jésus et Bouddha t9 (128p) : Cette couverture est l'une des plus jolies que j'ai vue!  Et pas seulement parce qu'elle est pleine d'étoiles, de lunes, de points et de cœurs brillants partout (ne se voit pas sur l'écran). Non, mais vraiment, le fait qu'ils soient totalement plongés dans l'ombre à l'exception de leur visage je trouve ça très jolis, et très en adéquation avec leur statut d'illuminés aussi. Quand à l'histoire je la trouve toujours sympa. On apprend peut-être un peu moins de choses dans ce tome que dans certains précédents mais leurs aventures sont toujours aussi sympa à lire.
Bleach t1 (192p)  : Plutôt pas mal. C'est encore un manga sur lequel j'avais quelques aprioris totalement injustifiés et qui se révèle assez prometteur.
L'attaque des titans t12 (192p) : Pas beaucoup de réponses dans ce tome alors qu'on en attend! J'ai l'impression qu'on ne les aura qu'à la toute fin... Bouh! C'est cruel.
Maiden Rose t1 (200p) : Je dois me faire vieille mais j'en ai raz le cul des histoires de viol ou la victime tombe finalement amoureuse de son agresseur! Ça n'a jamais été trop ma tasse de café fort mais là, vraiment, je ne supporte plus du tout ces scénarios à la con.
Secret Love (208p) : Pourquoi choisir ce titre alors qu'à aucun moment les protagonistes ne tentent de cacher leur relation? Sérieusement après 10 pages on est déjà au courant que tout le monde les encourage à sortir ensemble. Les potes, les parents, les sœurs, tout le monde je vous dis! Alors pour le coté secret on repassera. J'ai acheté ce manga en désespoir de cause parce que je n'en trouvais aucun qui me donnait vraiment envie (oui, j’aurais aussi bien pu ne rien acheter, certes... mais la pression était trop forte, je ne pouvais pas revenir de Made in Asia avec presque rien) et parce que j'avais adoré il y a quelques années un autre manga de l'auteur (Princess princess) mais franchement le scénario est bateau, le dessin pas terrible et la conclusion plutôt nulle. Autant passer son chemin.
Gente (178p) :  Ce manga est un O.V.N.I dans son genre. Original dans le thème car on suit les vies du personnel d'un resto italien, tous d'un certain age et binoclards. Mais parfois un peu déstabilisant à cause du dessin, ce n'est pas franchement évident de différencier les personnages, c'est dommage parce que, justement, il est différent et ça donne un certain charme à l'ensemble. A lire plus d'une fois pour être à l'aise avec le style je pense. Et puis à voir ce que le tome 2 a à donner.
Les enquêtes de Sherlock Holmes (233p) : Quatre nouvelles retranscrites en manga. Une adaptation très fidèle, peut-être même un peu trop (je ne suis jamais contente, je sais) au canon. Mais c'est surement parce que j'ai (re)lu les nouvelles concernées il y a qu'une poignée de mois tout au plus. Sinon il s'agit vraiment d'un livre que tout Sherlockian se doit de posséder. Je pense faire une sorte de comparatif entre celui ci et la version coréenne que j'ai lue le mois passé mais j'hésite encore sur le format que prendra cette chronique.
Affaire à suivre donc.
 

Romans :
Les chants de la mort (444p) : Coup de cœur. Avis dispo ici.
Fay Renoir (254p) : Gros coup de cœur. Avis dispo ici.
L'oublié des Dieux, la malédiction (166p) : Plein d'illogismes. On ne se lance pas dans l'écriture d'une histoire se déroulant dans un monde catégoriquement différent du notre sans se renseigner et réfléchir un minimum avant. Un exemple : Le monde où se déroule l'histoire est dirigé par les femmes, elles sont considérées comme plus spirituelles que les hommes et la plupart des postes important leur reviennent. Imaginer cela correctement revient à remettre en question absolument toutes les choses que nous connaissons, vivant dans un monde régit par et pour les hommes (eh ouais, je vous l'avais pas dis? J'ai découvert que j'étais féministe...). Par conséquent il n'y a aucune raison pour que l’espèce humaine soit appelée "les hommes". Strictement aucune. Réfléchissez, c'est juste de la logique. Dans la même optique, les verbes, quand ils concernent des groupes composés d'hommes et de femmes, n'ont pas à se conjuguer au masculin par défaut. Les femmes dominent le monde le féminin l'emporte, c'est tout.  Aussi, à un moment l’héroïne va être accompagnée pour une cérémonie par six vierges alors que son homologue masculin, lui, ne sera accompagné que de six jeunes hommes. Aucune mention à leur virginité (ou non) n'est faite, ils sont juste jeunes et ce sont des hommes, point. C'est une précision très machiste d'insister sur le coté vierge des jeunes filles. Et le pire c'est que je suis presque sur que l'auteur ne l'a pas fait exprès, on est tellement habitués à vivre dans un monde dominé par les hommes qu'on peut très bien écrire ça sans arrière pensée (et une fois qu'on a compris ça je vous juge que ça fait mal au cul). Sauf que quand on touche à la question du féminisme dans son œuvre, ben, on se renseigne correctement, on ose se remettre en question, remettre en question la base même du système dans lequel nous vivons. Ou alors on place son histoire dans un monde semblable au notre, et là on évite de se casser la gueule.
J'ai repéré des dizaines de points de ce genre dans l'histoire et franchement c'est chiant.
Déjà qu'il faut attendre à peu prés la page 110 pour qu'il commence à se passer quelques chose et la page 146 pour être surprit pour la première fois (sur 166 pages hm) en sachant que les 20 dernières auraient pu être résumées en cinq tant tout n'est que répétitions, c'est vraiment lourd de repérer en plus toutes les huit pages une allusion sexiste involontaire/ordinaire.

 

Voilà.
Encore une fois je ne suis pas super gentille avec certains auteurs mais je ne vais pas non plus me forcer à écrire des choses gentilles quand je ne les estime pas méritées.
Enfin, j'en suis quand même à 3335 pages! C'est limite mais j'ai atteins mon objectif! Je ne l'aurais pas cru.
Allez, pour avril je vise les 4000.

lecture de mars

Je me rends compte que je n'indique jamais le nom des auteurs dans cette récap mais c'est parce qu'ils sont généralement bien visible sur les miniatures quand on regarde l'image en taille réelle (pour ce faire : clic droit --> ouvrir dans un nouvel onglet).

Pour nous rejoindre pour le prochain 1 Mois --> 1000 pages c'est par ici (clic).

 

 

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17 mars 2015

Les chants de la mort - Nicole Gonthier

Les chants de la mortQuatrième de couverture : Automne 1482. Sur la piste d'un tueur en série qui émascule ses victimes, le prévôt Arthaud de Varey doit mener l'enquête dans les bordels lyonnais les plus sordides où les moeurs pédophiles trouvent satisfaction aux dépens de garçons prostitués. Le diable aurait-il pris possession de la cité ? La peste qui sévit, la famine qui accable les petites gens, les exigences tyranniques du roi de France Louis XI - vieillissant et malade -, les transgressions et les malversations des plus éminents citoyens, le mépris des interdits, tout démontre une décadence générale. A l'écart de ces misères, l'école cathédrale, où les enfants de choeur apprennent l'art du chant liturgique, n'est pourtant pas épargnée par la corruption. Monde clos et secret au sein duquel s'imposent les personnalités attachantes de deux jeunes choristes, Tristan et Arnaud, elle renferme la solution de l'énigme et fournit au prévôt la clef de ces meurtres à répétition. Lorsque la vérité éclate, nul ne peut éviter qu'elle ait les couleurs de la tragédie et du sacrifice.

Ce que j'en ai pensé : Au vu du résumé je m'attendais à une histoire particulièrement  noire et dérangeante, au lieu de ça j'ai découvert un roman historique vibrant, sonnant vrai et aux personnages attachants et réalistes.

L'histoire nous emmène dans le Lyon de 1482, en plein Moyen Age. L'écriture est agréable et fluide, grâce à ça on a aucun mal à se représenter la vie des gens à cette époque, l'état des rues comme des maisons. Tout sonne juste et c'est revigorant, attirant. Très vite on s'attache aux personnages principaux, le prévôt est un honnête homme et si au début on se demande un peu pourquoi il cherche tant à retrouver son assassin alors que celui ci a débarrassé la ville d'une pourriture on se rend vite compte qu'effectivement ce tueur est dangereux, et pas seulement pour les hommes mauvais, et qu'il vaudrait mieux l’attraper au plus vite. Arnaud est mon personnage préféré, on se doute rapidement de ce qu'est son secret, ou l'un de ses secrets, et ça ne le rend que plus attachant encore. Même Tristan qui me parut d'abord trop hautain et égocentrique a finalement vite su se faire aimer.
Les personnages sont fidèles à eux mêmes, ils sont logiques et humains, ce qui permet de les aimer et les accepter même avec leurs défauts. C'est une chose que j'ai beaucoup aimée dans ce livre, aucun d'eux n'est parfait, on peut croire à leurs histoires, à leurs vies, à leurs existences même en grande partie grâce à ça.
J'ai malgré tout regretté que les rares personnages féminins soient soit faibles, soit malfaisants. Éliette apparait comme une petite chose fragile pendant la majorité du récit alors que la vie qu'elle a eu, en ce temps là peut-être plus encore qu'en un autre, aurait du la durcir ou du moins l’empêcher de frémir et se blottir dans les bras de son fiancé à la vue d'un personnage dont je ne peux pas dire grand chose au risque de spoiler.
C'est le seul point négatif sur lequel j'ai vraiment accroché.

La fin par contre laisse un gout amère en bouche, en même temps comment aurait-il pu en être autrement, l'histoire se déroulant en plein Moyen-Age et en partie dans un cloitre, il aurait été difficile d'avoir une parfaite happy end.

Avant de conclure je tiens à remercier les éditions Pygmalion et Babelio pour m'avoir permit de découvrir ce titre que je considère d'ores et déjà comme un coup de cœur de cette année.

Points forts : L'auteur est historienne, ce qui lui permet de nous faire une description très crédible de ce que devait être Lyon à l'époque du récit. Les personnages masculin auxquels on croit  et à qui l'on peut s'identifier.
Points faibles : Les personnages féminins.
Nombres de tomes :  1. En fait il s'agit de la quatrième enquête du prévôt Arthaud de Varey mais elle peut-être sans problème lue sans avoir connaissance des précédentes (ce fut mon cas).

Compte pour le challenge lecture 2015.

1 mars 2015

J'ai lu quoi en février? 1 Mois -> 1000 pages (Février 2015)

Romans :
Contes Urbains (272p) : J'étais heureuse de commencer ma lecture, car dés les premières pages j'ai ressenti un style relativement assuré. L'écriture était fluide et agréable et bien que les premiers thèmes ne me passionnaient pas franchement au moins n’était-ce pas désagréable à lire.
Hélas, mon intérêt s'est tari au fil des nouvelles, à l’exception de l'une ou l'autre, et, pire encore, le style à peu à peu disparu, tout comme les histoires, pour laisser place à plusieurs petites réflexions sur la vie, la mort, la souffrance. Une ou deux ça aurait passé mais la quasi totalité de la seconde moitié du livre n'est composée que de ça. Ça donne l'impression d'un auteur terrifié par la mort, par la disparition de son âme et qui écrit encore et encore dessus, qui tente de détruire ses craintes, de les exorciser en s'auto-persuadant que la mort n'est pas la mort, que ce n'est pas grave, qu'il y a autre chose après, etc. Ce n'est pas mal en soi, on a tous nos peurs, mais ça n'a, à mon avis, rien à faire dans un recueil traitant prétendument de « contes urbains ».
Ne pas s'oublier (26p) : Je vois clairement l’intérêt de l'écriture dans le traitement d'un état dépressif, je suis même persuadée que c'est une excellente chose à faire et que ça peut beaucoup aider, par contre je ne comprends pas le choix de partager ces écrits. Ils sont certes important pour l'auteure et ses proches, et c'est tout naturel, mais, sincèrement, le reste du monde risque de ne pas en avoir grand chose à faire.
Même en faisant un effort je n'ai pas pu ressentir de sympathie ou d'attachement envers ce personnage/cette personne. L'immersion dans la tête, dans le cœur du personnage/narrateur aurait du être beaucoup plus forte.
Au lieu de ça c'est relativement plat du début à la fin, en fait on ne sait même pas si elle est guérie à la fin ou non. Il n'y a aucune évolution du personnage, ou alors on ne le ressent pas, elle dit qu'elle ne va pas bien mais rien n'appuie ce propos. Ensuite vient la complicité avec le psy mais encore une fois rien dans l'écriture ne nous indique que ça va mieux. On devrait ressentir les montagnes russes de ses sentiments, de ses émotions, de sa perception à fleur de peau mais c'est à peine si on a droit à un petit tour dans un train touristique roulant à 20 km/h.

Mangas :
L'attaque des Titans  t 4 à 11 (1536p) : Bon, comme je me suis fais l’intégrale actuellement disponible en moins de 2 mois (merci petite chieuse qui ne lira jamais ce message mais qui m'a tout prêté) c'est très difficile d'en parler sans spoiler. Donc je vais essayer d'être très très générale. L'histoire devient de plus en plus intéressante et prenante à mesure qu'elle avance, les dessins s'améliorent, et pour ceux qui, comme moi, trouvait débile et illogique le fait que personne n'ai vu le titan colossal arriver sur le mur, rassurez vous : On vous expliquera tout! Et ça c'est bien. Même si ça soulève encore plus de questions... Mais au moins l'histoire ne s'enlise pas, au contraire, et ça promet le meilleur pour la suite.
Vampire Knight, t 18 et 19 (384p) : Pas mécontente de voir enfin arriver la fin de ce manga. Ces deux derniers tomes sont du même acabit que les précédents : fouillis et décevants. Les explications aux actes de Kaname sont ridicules, la personnalité de Zéro n'a plus rien à voir avec ce qu'elle était jusque là, même son regard à changé, c'est devenu un gentil toutou qui cherche des câlins alors que jusque là c'était un emmerdeur, certes, mais au moins un emmerdeur entier et constant. Et que dire des dernières pages qui sont d'un classique... Heureusement que je n'attendais rien de cette série parce que j'aurais été bien amère. Bon, les dessins sont jolis, c'est vrai, mais ça ne fait hélas pas tout. Et au bout de ce 19eme tome je suis toujours incapable de différencier les personnages secondaires à quelques exceptions prêt, genre le directeur qui a le bon sens de ne pas avoir la même coiffure que tout le monde ou la fille vampire qui à le mérite d'être la seule de son sexe à avoir un chouilla d'importance, ce qui me permet de la différencier de ces petits camarades.
Le monde de Wanwan t3 (126p) : C'est toujours aussi mignon, quoiqu'un poil moins drôle que les deux premiers peut-être.
The Sherlock Holmes Story T1 et 2 (448) : Un gros coup de cœur pour cette série qui s'est hélas arrêtée en plein milieu vu qu'éditée par une maison d’édition qui a mis la clef sous la porte, encore, comme la grosse majorité des maisons d’édition publiant des manhwas. Il faudrait vraiment qu'une grosse maison s'attaque à la BD coréenne parce qu’il semble de plus en plus évident que les petites n'ont pas les épaules suffisamment solides pour gérer et la publication régulière et de bonnes grosses campagnes de pub qui permettrait au publique de s'ouvrir à ces nouvelles séries.
Au sujet de la BD en elle même ; c'est un titre très drôle, les caractères des protagonistes sont assez fidèles au canon quoi qu'un peu adapté malgré tout. Moi je suis conquise et n'ai dorénavant plus qu'à me lamenter sur le fait qu'ils ne resteront que tout les deux sur mon étagère, j'aimerais tant voir leurs petits frères.
Aussi, j'ai lu que certaines personnes n'avaient pas trop aimé les dessins, les trouvant trop simple, trop raides ou trop épurés, je m'attendais donc à un manhwa très basique au graphisme incertain (vous remarquerez que ça ne m'a pas empêché de le commander malgré tout) et j'ai eu l'agréable surprise de découvrir que ce n'était pas du tout le cas. Bon, maintenant c'est vrai que je suis depuis longtemps familiarisée au style coréen qui s'éloigne quand même en de nombreux points du japonais mais sincèrement les dessins ne m'ont pas semblé souffrir de défauts tels qu'ils mettraient en péril la qualité générale du titre.
Ten Count t 2 (192p) : Très, mais vraiment très surprise de la tournure des évènements dans ce tome 2! Autant le premier m'avait littéralement conquise autant celui ci me laisse beaucoup plus mitigée. Les personnages sonnaient très vrai dans le tome 1 mais dans celui ci l'auteur a l'air d'avoir un peu tout envoyé en l'air. Mon perso ne supporte pas qu'on le touche? Bah son psy va le faire quand même, parce que bon, faut bien qu'il avance, puis il va le violer aussi, parce que pourquoi s’arrêter en si bon chemin, et même qu'il va aimer ça, tiens, c'est pas comme s'il existait des contacts plus intimes et violent que ça, ça ne devrait nullement déranger une personne qui a peur des germes...
Non, franchement je suis un peu déçue de ce tome 2, Rihito Takarai ne nous a pas habitué à ça, ses persos sont toujours sincères, touchants, justes... Les scènes de cul sont même généralement absentes de ses mangas, là je ne sais pas ce qui lui a pris.
A silent voice t 1 (208p) : Un premier tome bien mené, une histoire originale et des héros touchants qui apprennent la vie à leurs dépends. Par contre tout semble avoir été dit dans ce tome, je me demande de quoi vont pouvoir parler les suivants.

BDs :
La BD est Charlie (176p) :  Pas très drôle. Ni satirique. Je m'attendais à mieux de la part d'un hommage à Charlie Hebdo
Mind (50p) : un web comic vraiment sympa (disponible en intégralité et gratuitement ici, ce serait dommage de passer à coté). Le trait n'est pas toujours hyper assuré mais l'ensemble se tient et à beaucoup de gueule. Certaines planches sont même à couper le souffle. Et l'histoire... Ben, l'histoire démarre super bien! Je suis frustrée de devoir attendre la suite, 50 pages c'est trop court.
Un projet Ulule a aussi vu le jour pour permettre de l'acheter en version papier. Il reste 5 jours pour participer au moment ou cet article est publié (moi j'ai déjà réservé le mien ^^)

En cours :
Sherlock Holmes l’intégrale (300p, peut-être) : C'est assez dur de dire combien de pages j'ai lues étant donné que j'ai zappé pas mal de nouvelles que j'avais déjà lues. Et je ne ferais pas de commentaire de plus que celui que j'ai fais sur FB il y a une poignée de jours et qui résume mon amour pour le détective et son biographe:

- M'accompagnerez-vous cette nuit?
- Quand vous voudrez, où vous voudrez.
(La maison vide)

Un brouillard gris tourbillonna devant mes yeux, et, quand il se dissipa, je m'aperçus que mon col était déboutonné ; j'avais encore sur les lèvres un vague arrière-goût de cognac. Holmes était penché au-dessus de mon fauteuil, un flacon dans la main.
- Mon cher Watson ! me dit la voix dont je me souvenais si bien, je vous dois mille excuses. Je ne pensais pas que vous étiez aussi sensible.
(La maison vide)

Allons, allons, mon vieux, qu'il en soit comme vous le voulez ! Nous avons partagé la même chambre pendant des années et ce serait amusant si nous finissions pas partager la même cellule.
(Charles Auguste Milverton)

Holmes glissa sa main dans la mienne et me la serra d'une façon rassurante, comme pour me dire que la situation ne le dépassait pas et qu'il n'était pas inquiet.
(Charles Auguste Milverton)

Osez encore dire après ça que ce n'est que moi qui me fais des films.

Nombre de pages lues : 3718.
J'avais tablé sur 2000 je crois, c'est donc un chalenge réussi!
Je repars sur 3000 en mars.

fevrier lecture

Pour nous rejoindre pour le prochain 1 Mois --> 1000 pages c'est par ici (clic).

 

 

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